Prière de Jean XXIII pour les travailleurs
(Version en français)Ô glorieux saint Joseph qui avez voilé votre incomparable et royale dignité de gardien de Jésus et de la Vierge Marie, sous les humbles apparences d'un artisan et, par votre travail, en avez assuré la vie, protégez avec une aimable puissance les travailleurs qui vous sont confiés particulièrement.
(Version en français)
Ô glorieux saint Joseph qui avez voilé votre incomparable et royale dignité de gardien de Jésus et de la Vierge Marie, sous les humbles apparences d'un artisan et, par votre travail, en avez assuré la vie, protégez avec une aimable puissance les travailleurs qui vous sont confiés particulièrement.
Vous connaissez leurs angoisses et leurs souffrances, parce que vous les avez vous-même éprouvées, à côté de Jésus et de sa Mère. Ne permettez pas que, sous le poids de tant de préoccupations, ils oublient la fin pour laquelle ils ont été créés par Dieu; ne laissez pas les germes de la méfiance s'emparer de leurs âmes immortelles. Rappelez à tous les travailleurs que, dans les champs, dans les usines, dans les mines, dans les laboratoires de la science, ils ne sont pas seuls à travailler, à jouir et à souffrir, mais qu'il y a à côté d'eux, Jésus avec Marie, sa Mère et la nôtre, pour les soutenir, pour essuyer leur sueur, pour enrichir leurs fatigues. Enseignez-leur à faire du travail, comme vous l'avez fait, un instrument très élevé de sanctification. Amen.
(Version en espagnol)
O glosioso San José, que has cuidado con incomparable y real dignidad de guardian a Jesus y María, bajo la humilde apariencia de un artesano y por tu trabajo has asegurado sus vidas, protege con tu tierno poder a los trabajadores que se te han confiado particularmente.
Tú conoces sus angustias y sus sufrimientos, puesto que tú mismo los sufriste al lado de Jesus y de María. No permitas que bajo el peso de tantas preocupaciones, ellos olviden el fin por el cual fueron creados por Dios, no dejes que los gérmenes de la desconfianza se instalen en sus almas inmortales.
Recuérdales a todos los trabajadores que en los campos, en la fábricas, en las minas, en los laboratorios de la ciencia, ellos no están solos para trabajar, para gozar o sufrir, sino que están al lado de ellos Jesus y Maria madre, para sostenerlos, para secar su sudor, para calmar sus fatigas. Enseñales a hacer del trabajo, como tú los has hecho, un instrumento muy elevado de santificación. Amén.